Morandien depuis que j’ai découvert Morand, Venises , 1971… J’ai aimé et j’aime dans l’ombre, le grand (très grand) Paul, en lisant tout ou quasi tout ! Je n’ai jamais désarmé, quoique l’on ait pu écrire, l’œuvre, l’homme, etc. Je lis le texte liminaire...